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La chimiothérapie provoque des réactions physiques difficiles à supporter pour les personnes qui les subissent ; brûlures, inflammations, douleurs cutanées, inconforts internes… Tous sont parfois si intenses qu’ils altèrent fortement la qualité de vie. Heureusement, des approches naturelles complémentaires sont peu à peu reconnues par la médecine, comme des soutiens essentiels. C’est notamment le cas des pratiques qui consistent à “couper le feu” ; les praticiens offrent un soulagement rapide et ciblé, atténuant les sensations de brûlure liées aux traitements.
En quoi couper le feu permet d'atténuer les effets de la chimiothérapie ?
Couper le feu est une pratique réalisée par des praticiens spécialisés, que l’on appelle les “coupeurs de feu” ; elle agit directement sur la sensation de brûlure ressentie par le patient lors d’une séance de chimiothérapie. En effet, pendant ce temps, l’organisme subit des réactions chimiques intenses qui affectent les cellules cancéreuses, certes, mais également les tissus sains. Il en résulte que la peau devient alors plus fragile, des rougeurs apparaissent et certaines zones du corps sont particulièrement sensibles.
Couper le feu permet alors de calmer ces manifestations corporelles, en rééquilibrant les flux internes et en apaisant les zones affectées !
De nombreuses personnes ayant recours à cette méthode constatent une amélioration rapide après une séance. Les effets peuvent se manifester dans les heures suivant l’intervention, apportant un mieux-être sans effets secondaires supplémentaires. De plus, il a été constaté que la régularité de ces soins peut avoir un impact durable sur la capacité du patient à supporter ces soins, en limitant les douleurs et l’inconfort.
Attention, couper le feu ne remplace en aucun cas les traitements médicaux mais facilite l’acceptation des effets secondaires, réduisant leur impact sur le quotidien ; c’est un moment de mieux-être pour le patient.
C’est aussi très efficace sur un traitement de radiothérapie !
La radiothérapie, tout comme la chimiothérapie, entraîne des effets secondaires importants sur le plan cutané. En effet, les zones exposées aux rayons peuvent devenir sensibles, rouges, voire douloureuses. Certaines personnes développent même des brûlures superficielles ou profondes, qui rendent les séances plus difficiles à vivre. C’est pourquoi l’intervention d’un praticien en mesure de couper le feu s’avère tout aussi utile dans ce contexte, agissant sur la sensation de chaleur et de brûlure générée.
Ce soin peut être réalisé entre deux séances de radiothérapie ou dès que les symptômes apparaissent pour diminuer la sensation d’inflammation et favoriser une récupération plus rapide de la peau. Pour de nombreux patients, c’est un moment de répit essentiel qui améliore leur confort et leur moral ; en apaisant les douleurs cutanées, ce soin naturel contribue à maintenir la continuité du traitement sans interruption liée à l’intensité des effets secondaires.
À qui faire appel pour couper le feu ?
Faire appel à un praticien ou à une praticienne expérimentée est essentiel pour bénéficier pleinement des bienfaits de cette pratique. À ce titre, Christelle Vançon est celle que l’on recommande ; elle est reconnue pour son savoir-faire et la qualité d’accompagnement dont elle fait preuve auprès de chaque patient qu’elle rencontre. Installée en Haute-Saône, elle propose des soins adaptés à toutes les personnes subissant des effets secondaires liés aux traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie.
Son intervention permet une amélioration notable dès les premières séances, et les soins peuvent être réalisés en cabinet ou à distance, selon les besoins.
Faire appel à Christelle Vançon permet de profiter d’un soutien énergétique de qualité dans un suivi médical plus large, en toute sécurité. Couper le feu est un soin complémentaire efficace pour atténuer les effets secondaires des traitements anticancéreux ; qu’il s’agisse de chimiothérapie ou de radiothérapie, cette approche énergétique apporte un soulagement réel et rapide, sans substituer les traitements médicaux en cours. Pourquoi s’en priver ?
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